Vieux goujats des longues
chevauchées,
Des temps des augustes et forts
Seigneurs,
Où tonnait la foudre des invasions de
nouvelles terres
De nouvelles richesses, de riches
butins et des reines exquises,
Bravoure, charisme et robustes
carrures,
Ils faisaient peur à la peur,
Devant eux se prosternaient de torpeur,
Humains, anges, diables des enfers,
Ils ne vivaient que pour croiser les
fers,
Dans les vastes vallées, dans les
plaines en plein air,
Faune et flore, à leur volonté se
plièrent,
Indomptables humains sur les
farouches fauves dominèrent
Très longtemps en de gloires
séculaires,
L’Histoire a peut-être omis leur
grandeur,
D’épopées en épopées, de gloire en
gloire,
Ils façonnèrent le monde et la Terre
Par leur héroïsme et vaillance,
courage et valeurs,
Nous nous en souvenons d’esprit et de
cœur,
Pour la vie, pour toujours !
Abdelmalek Aghzaf, Fès, Le
23/03/2015®©
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