Tâche
noire sur un buvard,
Au boulevard, quelque part,
Le jeu ne me convient guère, il est une tare,
Je viens, je vais, je repars,
Je suis comme la plupart,
Je crois au destin, au hasard des chemins,
Aux lignes de la main, au chaman,
Cependant, je dis Non
A la mythologie de Cupidon, au x plumes du faisan,
Non aux moutons de Panurge,
Je me lave à l’eau de Javelle, je me purge,
Je m’éclate au goulot de la courge,
Je fais fi des totalitarismes et de leurs purges,
Je m’insurge !
Je marine la démystification,
Je cuisine mon insatisfaction,
Je sirote la lente attente
D’un Temps sans molécules,
Sans roses des vents, sans véhicule,
Sans décalage d’horaire, sans matricule,
Temps de l’essence,
Entre présence et absence,
Temps ultime de l’espérance
Qui détruit toute exubérance,
De l’éclosion de la magnificence,
Dans la vitesse de sa luminescence,
Jusqu'au firmament de l’abondance !
Infini, infini est le firmament de l’exégèse du « Qu’Oran »,
Dans sa singulière jouissance,
De la sacralité de son Verbe, de son attirance,
De sa métaphore, dans toute son éloquence !
Je vais, je viens, j’erre, je pars quelque part,
Sans carnet de bord, tantôt dedans, tantôt aux bords,
Des fois, à tribords, d’autres fois à bâbords,
En navigation libre, sans accords, ni remords,
Ai-je vraiment tort ?!
Au boulevard, quelque part,
Le jeu ne me convient guère, il est une tare,
Je viens, je vais, je repars,
Je suis comme la plupart,
Je crois au destin, au hasard des chemins,
Aux lignes de la main, au chaman,
Cependant, je dis Non
A la mythologie de Cupidon, au x plumes du faisan,
Non aux moutons de Panurge,
Je me lave à l’eau de Javelle, je me purge,
Je m’éclate au goulot de la courge,
Je fais fi des totalitarismes et de leurs purges,
Je m’insurge !
Je marine la démystification,
Je cuisine mon insatisfaction,
Je sirote la lente attente
D’un Temps sans molécules,
Sans roses des vents, sans véhicule,
Sans décalage d’horaire, sans matricule,
Temps de l’essence,
Entre présence et absence,
Temps ultime de l’espérance
Qui détruit toute exubérance,
De l’éclosion de la magnificence,
Dans la vitesse de sa luminescence,
Jusqu'au firmament de l’abondance !
Infini, infini est le firmament de l’exégèse du « Qu’Oran »,
Dans sa singulière jouissance,
De la sacralité de son Verbe, de son attirance,
De sa métaphore, dans toute son éloquence !
Je vais, je viens, j’erre, je pars quelque part,
Sans carnet de bord, tantôt dedans, tantôt aux bords,
Des fois, à tribords, d’autres fois à bâbords,
En navigation libre, sans accords, ni remords,
Ai-je vraiment tort ?!
Abdelmalek
Aghzaf, Fès, Le 11/03/2015®©
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire