Ton épithète se tresse
En petites brises sans cesse
Tout le long du Saule pleureur
En te laissant tomber sur les
bordures
D’une eau dormante, de topaze ou de
jade
Sous les cils de tes regards qui
songent
Dans un rêve de verdures en sublimes
arcades
Prends-moi dans tes bras, sous ton
aile
J’irais dormir sur tes lèvres humides
Bercé de ton souffle intrépide
Je me ferai papillon en métamorphose
De multiples jets de couleurs entre
les volets de ta conscience
Aux fenêtres à demi closes !
Abdelmalek Aghzaf, Fès, Le
11/05/2015®©
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