Jouvence de mon cœur, en toutes ses
couleurs,
En ma ruée vers un certain bonheur,
Je voguais par les pages, en lecteur
De mes Classiques, poètes et auteurs,
Qu’en resterait-il de mes longues
heures
De lecture, de mes voyages
délétères ?
Que de beaux souvenirs, quelle
ferveur ?
Oh, amère cendre, belle
douceur !
Je m’en vais, en aède troubadour
 la quête de mes beaux jours,
Hâte, lenteur de nuit et de jour,
M’en souvient-il de ces fleurs de
Pompadour ?
Serein, malgré mille tourbillons et
mirages,
Je me fie en ma folie, en ma rage,
De vivre jusqu’à la lie de mon âge
Sans laisser au temps le temps d’être
plus sage !
Abdelmalek Aghzaf, Fès, Le 25/03/2015®©
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