Je dis la parole que me dictent mon cœur, mon esprit et ma mémoire.
Eux, qui me roulent le tapis des souvenirs, me facilitent la parole et son éloquence.
Ma langue d'adoption est mon outil de prédilection, pour avoir si longtemps été apprenti, puis, artisan, ensuite, maître d'œuvre dans l'orchestre de la langue chantée.
Ma verve est le legs de mes aïeux. Elle est le don de ma Muse:
Le mensonge et la vérité, même monnaie à deux faces.
Dans la nature, il n'y a pas de prédateur qui ne soit victime en soi d’un autre prédateur.
Tout est subterfuge. Tout est astuce. Tout n’est pas dû au seul hasard d'être.
La nature fait tout pour que le plus fort persiste et que le plus faible s’efface. L’exemple de l’araignée est significatif. La femelle dévore le mâle, juste après l’accomplissement de l’acte ultime de l’accouplement, censé perpétuer la reproduction de l'espèce.
Chez les humains, on est prédateur et victime, à la fois, des mêmes membres de son espèce. Le temps et l’espace peuvent changer. Les êtres peuvent être différents. Les stratagèmes et l'évidence de ce système restent les mêmes.
Dans la culture musulmane, on apprend que même l’ange de la mort doit mourir. ( حتى ملك الموت سوف يموت ).
On finit toujours par tomber dans le même piège que l’on a construit, soi-même pour autrui.
Le crime parfait n’existe pas.
Le mensonge, la fourberie et la tromperie ne tiennent pas toujours longtemps. Quitte à ce que cela dure toute une vie. La vérité finit par éclater au jour, voire à titre posthume.
L’esprit humain est extraordinaire. Dans sa recherche du parfait, il ne cesse de se créer des astuces. Il invente des moyens, pour parvenir à ses fins. Il peut se tromper. Il peut échouer. Il contourne les échecs par le mensonge. Il tisse des histoires. Il rêve.
Mais, le rêve, en lui-même, est un pur mensonge. Comme le cinéma, le roman, la nouvelle, le conte, les créations artistiques, il imite “ une réalité “. Or, il n’est jamais cette “ réalité “.
Pour exister et vivre dans le chaos et la grande confusion du grand mensonge, on commence par s’exercer aux petits mensonges. C’est amusant, cynique et sarcastique que d’entendre dire : “ le mensonge blanc “ !
L’enfant joue au soldat et à la guerre. Alors que la guerre des adultes est toujours un jeu dangereux. Il entraîne des blessés et des morts.
Le pouvoir politique et/ou économique, judiciaire, psychologique, enfin, idéologique ne cesse de jouer le même jeu dangereux.
La richesse, la réussite, la célébrité, l'extrême beauté,...tout cela entraîne la contrefaçon, sanctionnée ou pas., La tromperie et la dérision finissent au même gouffre, celui de la mort.
Un chef doit mentir. Son subalterne doit mentir. Un juge doit mentir. Un suspect doit mentir. Un condamné doit mentir. Un homme politique doit mentir. Un commerçant doit mentir. Un client doit mentir. Les époux doivent se mentir. Un journaliste doit mentir. Les médias se doivent de mentir. Un écrivain, un nouvelliste, un poète, un homme de théâtre, un artiste,...toutes ces couvertures, tous ces voiles, sont des mensonges, à différents degrés, à différents desseins.
Voilà, pourquoi le monde est ainsi fallacieux.
Toute entière, la vie n’est qu’un long processus d’entraînement au grand mensonge.
Essayer de mentir et de dire la vérité, puis, mentir sur la vérité et dire la vérité sur le mensonge. Comme un mirage. Tout est illusion du vrai. Le vrai n'existe pas. Tout est illusion du parfait. Le parfait n’a jamais existé et n’aura pas à exister.
Ainsi, le mensonge devient une formidable issue salvatrice, une échappatoire propice, dispensée par l’esprit. Un subterfuge intelligent pour se dégager des impasses. Afin de contourner les pièges.
C’est aussi un moyen, comme un autre, qui permet à l’individu de se projeter dans une certaine réalité fictive, imaginaire, inventée de toute pièce. Laquelle réalité a toujours fait l’objet de désir et d’aspiration, comme espoir et espérance.
Autrement dit, le mensonge fait partie d’une vérité qui, elle-même, n’est qu'illusoire.
Le mensonge est mirage du mirage. Il est kaléidoscope, mise en abyme. Miroir dans le miroir d’une vérité qui n’existe pas.
Le mensonge est la vérité que la véritable vérité n’a jamais existé. Tout est enfin relatif.
À la rencontre du Cinquième Élément, au virtuel Nota Bene :
Cette nouvelle est une fiction, le fruit de l'imagination. Elle est un récit qui s'inspire de la réalité virtuelle.
Elle ne doit être prise ni comme une expression d'opinion, ni un point de vue politique, ni une confession religieuse. Peut-être un essai philosophique, ni moins, ni plus.
L'auteur Abdelmalek Aghzaf ( Azraoui. ) A . A .
La Première dimension -
Ce fut un pur hasard, sans aucun autre nom. Inattendu, imprévisible, inexplicable.
Cette rencontre, à prime abord, prit la forme d’un coup de foudre. Puis, une attirance physique. Ensuite et très vite, elle se transforma en amour platonique et enfin, en une singulière amitié, où l'âme et le cœur prirent une grande place. Avec le temps qui passe, avec les échanges se multipliant et se diversifiant, cette relation virtuelle allait connaître des hauts et des bas. Il y avait bien des différences dues à la condition humaine, aux spécificités psycho-sociales, éducatives, culturelles, au cursus des deux personnages de cette histoire inscrite dans l’illusion d’un monde faux et falsifié.
Ces échanges, qui n'étaient pas toujours au beau fixe, avaient, par ailleurs, un certain charme saisissant, une sorte d’aimant secret, inexplicable, aussi bien pour l’un que pour l’autre. Ce qui faisait en sorte que laquelle relation virtuelle devrait continuer, qu’elle ne s'arrêterait pas là, face aux éléments inhibiteurs ( malentendus et quiproquos ) devant en finir illico et passer à autre chose.
En fait, bien qu’on communique dans la même langue, le sens de certains vocables, la signification de certains mots, n’avaient pas la même perception chez les protagonistes, l’un comme l’autre. Certes, ces handicaps de la compréhension mutuelle étaient si forts que ça frôlait une rupture certaine. Ce qui serait bien évidemment désolant et fâcheux.
Heureusement, ce lien profond, qui, peut-être, était derrière cette rencontre, allait renforcer cette relation virtuelle, l’enrichir, la rendre dynamique, la pousser vers l’avant. C'était grâce aussi à cette remise en cause, de part et d’autre, à la rectification de la manière d’appréhender le contact avec l’autre. Des excuses faites, le pardon émis, la compréhension prenait le dessus. L’attention s'aiguise au fur et à mesure qu’on avançait. Le taux d'écoute s’installa. L’acceptation de la critique et l’appel au changement de la conduite, du comportement firent bon écho. Plus rien ne devait être échangé au hasard et sans une bonne réflexion au préalable. Quoiqu’on ait voulu être et rester spontané. On calculait le bon et le mauvais côté de l’objet échangé. On mesurait le mot, on soupesait l’expression. La mémoire jouait bien son rôle d’enregistrer ce qui était bon à proposer à l’autre, selon ses préférences. L’objectif était de ne jamais heurter l’amour propre de l’autre.
Appelons le narrateur/ protagoniste :
Homo erectus, baptisé Pithecanthropus erectus.
Et son interlocuteur, personnage central :
HaMo - Galacticus
Au départ, Homo erectus fut poussé par ses impulsions et ses fantasmes de sentimental qu'il était.
En face, HaMo-Galacticus, cherchant un interlocuteur averti, s’exprimant en bon français, un professeur de français, marocain en l’occurrence, pouvant avoir un esprit ouvert, intellectuel, acceptant de discuter des idées, pouvant échanger, sans préjugés, sérieux, ayant l’esprit large, non sans humour, sachant être à la fois, plaisant, positif, amusant, constructif, gardant l’enfant en soi, bien éveillé, bien vivant, aimant la vie, généreux, compréhensif, de bon cœur, sachant être compatissant, sage et homme d’esprit. Pas tout-à-fait parfait. Ne croyant pas en le parfait, puisque le monde ne l’est pas et l'être en soi ne l’est pas non plus.
HaMo- Galacticus semblait être, dès le départ, détenir un Savoir et une Connaissance d’un haut degré. Intellectuelle, en femme d'intérieur, autodidacte. Ce qui lui devait permettre de verser dans un champ spirituel et culturel, avec beaucoup d’aisance, puisqu’elle investit ce domaine, depuis 2009, du siècle passé.
Aussi était-elle dotée d’un pouvoir spirituel qui lui permettait de manipuler le discours, à même d’inciter son interlocuteur à rectifier son langage, à réviser son vocabulaire, à mieux atteindre ses objectifs, au fur et à mesure que le temps passe. L’avantage des premiers échanges est, sans conteste, le retour à la lecture des ouvrages spécifiques, avec beaucoup d’attention, avec des prises de notes, avec des moments d'arrêt pour réfléchir et méditer.
Les changements de conduite de Homo erectus allaient montrer, en effet, qu’il était en présence d’une “ forte personnalité, mûre, dotée d’intelligence, douée, persuasive, sachant ce qu’elle faisait et ce qu’elle voulait. Elle avait bien un mode de communication très avancé et se conduisait en fonction de cela avec une grande conscience. Pour “ quelqu’un qui ne fut formé que dans l’école de la vie “,... Cela ne semble pas donné à beaucoup de monde !
Aveuglé par cette lumière de connaissance, ébloui par son attachement continu à cette présence, à cette “ entité virtuelle “, Homo erectus se pliait aux exigences formelles, formulées très judicieusement et par étapes, suivant une cadence des marées basses et des marées hautes du dialogue et des échanges qui ne cessaient de se multiplier, de se diversifier, de mûrir, de fructifier et d'enrichir la communication entre les deux protagonistes.
Il s'aperçut, soudain, qu’il prenait une nouvelle voie, tout à fait opposée à celle, initiale, qu’il convoitait. Les échanges prirent lentement des tournures extraordinaires, changèrent de nature, de forme et de rythme.
Un soir, il repensa sa relation, examina la forme et le contenu, révisa le chemin parcouru, scruta les moyens utilisés, décortiqua le langage employé et, enfin, décida de se donner tout le temps qu’il lui faudrait, pour comprendre, saisir le sens de ce qui lui arrivait.
Ainsi, peu à peu, il lui paraissait voir plus clairement - d’abord - en lui-même, - ensuite - en l’autre.
Il apprit à adopter le langage de HaMo-Galacticus, ses signes, ses préférences, son vocabulaire. Il commença à gravir les marches de l’échelle de sa vision des choses :
Les récurrences répétitives des vocables : Moi, je t’aime, toi, tu nous Aimes ≥ Je Nous Aime,...Nous nous aimons en Un,....Nous sommes Un,...Dans l'amour Collectif, universel. L’Amour Inconditionnel de L’UN.
Nous sommes venus d’ailleurs, nous sommes sur cette planète Terre, en poussières des astres,...Il y a plus de trente millions d'années déjà,...Nous avions d'autres vies antérieures, notre âme devait avoir habité d’autres corps. Nous n’en gardons aucun souvenir. Nous ne sommes pas là pour y rester. Nous nous préparons au retour éminent à la Galaxie du départ, à la Source.
Qui est HaMo-Galacticus ?
Il semblerait, en effet, des milliers d'années, avant notre ère, que cette poussière galactique, provenant d’une étoile filante atterrit sur cette planète “ bleue “ et entama un long circuit d'évolution dans son adaptation à l’ A.D.N. de l'espèce humaine, par le processus qu’allait suivre son Génome dans son introduction au système vital et immunitaire des êtres humains. Elle finit par réintégrer cet être “ Terrien “ et finit par en prendre intégralement et totalement sa forme physique et mentale. Ce processus dura des siècles et des siècles, durant les premières dimensions : la première, la deuxième et la troisième.
Aujourd'hui, grâce aux prouesses de la science, dans tous les domaines, il nous est, plutôt, aisé d’en deviner la longue expérience qu’elle devait avoir à connaître, non sans aléas, ni controverses, alors qu’elle s’incarnait dans des corps si différents et si divers, de nature, de sexe, de personnalité, dans des époques différentes, les unes des autres, dans des espaces, disparates, parfois, hostiles, très souvent, obstruant toute évolution positive de cette “ entité extraterrestre “.
Elle a pu traverser, durant son incarnation parabolique, les espèces minérale, végétale, animale, avant d'intégrer l'espèce humaine. En allant du sexe masculin au sexe féminin et réciproquement, puis, incarnant les deux, à la fois.
HaMo-Galacticus prit le signe des Jumeaux de l'horoscope.
Ce n’est pas un hasard, née jumelle, ayant un frère jumeau.
Dans certaines sciences anthropologiques et certaines interprétations astrologiques, les jumeaux devaient avoir parmi leurs formidables facultés, celle de pouvoir passer du féminin au masculin, du masculin au féminin, avec une grande aisance, très souvent, passivement et inconsciemment et rarement, de manière active et consciencieuse.
HaMo-Galacticus traversa les âges, les générations,, avec brio, dans la transformation et l'évolution de son Savoir, de sa grande Connaissance des arts, des cultures, des sciences, des langues, et surtout, de l'étude de la Genèse des Saintes Écritures, de l’histoire des arts à l’histoire théologique des religions.
Sa connaissance de la psychologie, son penchant vers la psychanalyse et la Spiritualité allaient faire d’elle une Vraie Érudite.
Elle possédait bien un taux d'écoute extraordinaire. Une patience inégalée. Une finesse d'esprit d’analyse et de conceptualisation. Ce qui serait digne des esprits intellectuels, au Savoir très avancé. Sans aucune prétention, avec beaucoup de modestie, plutôt.
HaMo-Galacticus serait-elle ou est-elle, toujours, une entité extraterrestre ?
C’est, du moins, ce que Homo erectus, fut résolu de bien découvrir, avec beaucoup de curiosité et une profonde conviction.
Deuxième dimension -
Pour s'imprégner de la connaissance, Homo erectus n'hésita pas à feuilleter les pages d’histoire de la mythologie grecque, l’histoire de la civilisation de Babel, le mythe d’Atlantide, l’histoire mythique des dieux et déesses gréco-romains.
Ces axes de recherche lui permettraient, sans aucun de doute d’en savoir plus sur l’évolution de sa compagne HaMo-Galacticus et de pouvoir - par un jeu de corrélation - d’enlever le voile sur les secrets de la transformation, de decouvrir - peut-être - le cheminement parcouru par ce personnage extraordinaire à travers l’espace temps.
Il fut saisi par le mythe de “ Hermaphrodite (en grec ancien Ἑρμαφρόδιτος / Hermaphróditos) qui est un personnage de la mythologie grecque. Son nom a été utilisé pour créer le terme hermaphrodisme, qui désigne ce qui réunit les caractéristiques des deux sexes.
Par ailleurs et d'après le mythe toujours, Hermaphrodite est fils de Hermès et d'Aphrodite, comme son nom l'indique, hérite à sa naissance, sur le mont Ida de Troade, de la beauté de ses deux parents. Se baignant dans le lac de Carie habité par la naïade Salmacis, celle-ci s'éprend du bel adolescent. Comme Hermaphrodite repousse ses avances, Salmacis l'étreint de force et supplie les dieux d'être unie à lui pour toujours. Le vœu est exaucé et ils ne forment plus qu'un seul être bisexué, à la fois mâle et femelle. Hermaphrodite fait alors un vœu à ses parents, que tout homme se baignant dans le lac de la nymphe en sortirait lui aussi doté d'attributs féminins.
Ainsi, le mythe d'Hermaphrodite peut être rapproché de celui des androgynes évoqué dans Le Banquet de Platon : à l'origine, certains humains (hermaphrodites) possédaient à la fois les caractères féminins et masculins, et Zeus, s'alarmant de leur potentiel, les sépara brutalement en deux moitiés.
Ceci fut rencontré à Babel, mais surtout aux Indes, où le mythe d’androgyne fut notable et intéressant.
Ardhanarishvara (sanskrit IAST : ardhanārīśvara ; le « seigneur androgyne ») : est dans l'hindouisme, une épithète de Shiva représenté sous la forme androgyne (ardhanaru) : Shiva du côté droit et Parvati du côté gauche d'un même corps. Cette image symbolise l'ambivalence de la nature divine, féminine et masculine à la fois, ni homme ni femme, car à l'origine de toute chose, transcendant les distinctions de genre.
Elle représente aussi l'union du principe masculin, transcendant (purusha) et du principe féminin, shakti ou énergie à la source de toute création (Shiva-Purana). Selon le Vishnudharmottara PurAna, le principe masculin ou purusha identifié à Shiva serait l'âme originelle, tandis que le principe féminin serait la prakriti ou énergie phénoménale originelle, l'union de l'âme et du monde phénoménal étant à l'origine de l'univers.
Les mythes relatifs à Ardhanari ou Ardhanarishvara (le seigneur à demi-féminin) sont extrêmement nombreux. Dans certains textes, la forme androgyne est considérée comme la forme originelle, l'être cosmique primordial d'où est issue toute création, qui se serait par la suite scindée en deux êtres distincts (Bhrihadaranyaka-Upanishad). Dans d'autres textes, il s'agit au contraire de l'union de deux divinités distinctes. Dans un mythe du sud de l'Inde, la Déesse se serait fondue en Shiva pour obliger un dévot, l'ascète Bhringi, à l'inclure dans sa circumambulation rituelle alors que celui-ci l'ignorait. Ardhanari est généralement représenté debout. On trouve parfois également des représentations en posture de danse. Dans ce cas, la représentation est supposée symboliser l'union des deux modes de danse, le mode brutal ou tandava de Shiva, et le mode lasya propre à la Déesse.revenon au mythe d'Hermaphrodite et constatons l’inspiration qui en était faite par les créations artistiques.
Hermaphrodite a été, en effet, un fréquent sujet d'inspiration. En sculpture, la représentation la plus célèbre est celle de l'Hermaphrodite endormi, statue de l'époque hellénistique dont des copies figurent au Palais Massimo alle Terme, à la Galerie Borghèse à Rome, à la Galerie des Offices à Florence (salle 38 dite « de l'Hermaphrodite ») ainsi qu'au musée du Louvre à Paris et au Musée des Beaux-Arts de Lille. De dos, Hermaphrodite montre un corps à la grâce et aux courbes féminines, de l'autre, le spectateur aperçoit la particularité anatomique du personnage. Lady Charlotte Townshend, qui le vit au milieu du xviiie siècle, le décrit comme « le seul couple heureux que j'aie jamais rencontré ». Les représentations d'Hermaphrodite sont répandues dans les peintures mythologiques à sujet érotique prisées par la société romaine et découvertes au xviiie siècle dans les cités du Vésuve, en particulier à Pompéi. Le Cabinet secret du Musée archéologique national de Naples en conserve cinq : Hermaphrodite (inv. 9224), Pan et Hermaphrodite (inv. 27700), Vieux satyre et Hermaphrodite (inv. 27875), Satyre et Hermaphrodite (inv. 27701), Satyre tentant de s'unir à Hermaphrodite (inv. 110878).
Ainsi, Homo erectus fut convaincu de l’origine de l'intérêt de HaMo-Galacticus pour les arts et l’histoire des arts.
Mais, cela élucide aussi le secret de l'état bisexuel du protagoniste, revêtant par là la couverture mythique de sa personne.
Bien que l’attirance des sexes fusse à l’origine des espèces vivantes, ( voir les écrits de Darwin à ce propos )
Comme étant génôme constituant la cellule de base de la continuité de chaque espèce vivant sur cette planète. S’il y a des différences au niveau de l'évolution, le principe de la reproduction et de la procréation restent les mêmes, comme étant l’instinct de survie de l'espèce.
Le désir et le plaisir étant essentiel véhicule de cette attirance réciproque, le génie génétique va démontrer par la suite que la distribution en chromosomes mâles et femelles permet cette fusion dans le sens de la complémentarité des deux sexes présentant des distinctions et non des différences au niveau de la matrice de la constitution de l'être en tant que corps physique.
L'évolution ne peut se réaliser qu'à travers la relation naturelle adéquate, inscrite dans le système génétique de chaque espèce vivante, y compris l'espèce humaine.
Le reste, chez l’humain, est fruit de son imagination, de sa culture, de sa civilisation.
Ainsi, seraient nées les affections, les sentiments, l’amour, la haine, entre les autres pulsations diverses et contradictoires, en fonction du milieu social où il se meut et qui le façonne et le conditionne. Les instruments culturels et civilisationnels étaient et sont toujours là pour favoriser ou inhiber ces pulsations pour donner ce qu’on appelle les désirs refoulés. D'où aussi l’existence du Moi Conscient et du Sur-Moi inconscient ( le subconscient ) confiné dans une partie de notre mémoire.
Le Moi et l’Égo. Le libre arbitre et (les désirs refoulés dans l'être conscient, à cause des interdits et des tabous instaurés par le système idéologique, les dogmes, les religions, l’éducation, le code civil, les lois de la société, du groupe humain organisé, etc…).
L’humain a toujours été doté des facultés qui lui permettent de trouver des échappatoires, de pouvoir contourner les non-dits, les interdits et les tabous, afin de parvenir à ses fins, pour satisfaire ses désirs. Aussi parvient-il à trouver des réponses à sa curiosité dans tous les domaines et ce, en s’appropriant ses propres valeurs, sa propre liberté légitime de se conduire à l'encontre des règles, des dogmes, de l’ordre établi.
Il est important, à notre avis, d’arriver à s'accomplir dans l’autre. On est attiré par l’attrait de l’autre qui est en possession de ce dont on manque et dont on a besoin afin de s'accomplir soi-même. On approche une personne, dans le but de se compléter.
Cette réciprocité ne peut être que positive. Elle est à la base de la cohésion sociale, dans un environnement quasi hostile à ce rapprochement libre et naturel. La recherche du “ temps perdu “. En fait, de l’autre Moi manquant qu'on retrouve grâce à cette quête perpétuelle pour l’accomplissement de l'être à travers le cœur, avec de l'amour, de l'amitié, de la générosité, de la compassion, de la bonté. À travers l’esprit, de par la méditation, de la profonde réflexion, de par la spiritualité. Que celle-ci soit reliée à une religion ou confession religieuse, ou qu’elle soit dictée par le fervent besoin de savoir et de connaître soi-même et de reconnaître l’univers où on se trouve éjecté.
Ainsi, cette deuxième voie, qui fait abstraction de tous les dogmes théologiques, nous paraît être la plus intéressante, la plus enrichissante, puisqu’elle est nouvelle et va à l'opposé de toutes les idéologies préconçues, apprises de manière passive et non concertée, bon gré mal gré les efforts de l'être pensant.
C’est la voie de l'être libre, libéré, vidé de tous les résidus de la pensée sclérosée d’un savoir et d’une connaissances archaïques et répétitifs, visant à posséder l’homme, à le conditionner, à le diriger et à le faire dépendre d’un système qui possède tout, qui dirige tout, qui gère tout.
Cette nouvelle expérience est l'essence même de la rencontre des deux protagonistes :
HaMo-Galacticus et Homo-erectus. Laquelle voie et laquelle expérience sont une révolution silencieuse de l’esprit et du cœur.
Une expérience intellectuelle et sentimentale lente et introvertie. C'est à dire qu’elle explore l'intérieur de notre être, dans l’amour et la sérénité, la paix et la bienveillance.
Ainsi, nous devenons plus productifs, joyeux, compréhensifs, ouverts, calmes et généreux, compatissants et magnanimes.
C’est comme ça que se construisent la deuxième et la troisième Dimensions.
L’être en soi face au Moi et à l’Égo.
Sommes-nous Moi ou sommes-nous Égo ?
Le dialogue entre les deux amis est censé illustrer et démontrer ce cheminement de la pure méditation et de la profonde réflexion spirituelles. Le passage évident du Moi à l'Égo.
Grâce à la science et à la connaissance de HaMo-Galacticus, Home erectus pouvait, enfin, retrouver sa voie, suivre son cheminement vers la Source.
Le focus sensoriel le guide à travers des jets vibratoires formidables, où les ondes magnétiques provenant des lointaines galaxies l'entraînent irréversiblement vers l’ailleurs, dans des élans de joie de “ Sofi “, de béatitude de croyant illuminé par cette lumière blanche qui éclaire son ascension spirituelle. Il se dégage de son corps, il devient entité, âme qui pense, cœur qui jouit de plus en plus du moment, de l’instant.
La télépathie, la présence dans l’absence, la téléportation, la forte intuition “ in presentia “ ou /et “ in absentia “ se précisent de mieux en mieux. Ils deviennent une évidence existentielle et une perception supra-physique dans un espace temps indéterminé, sans début et sans fin apparents.
La Quatrième Dimension -
Il va falloir écouter attentivement HaMo-Galacticus, les interventions de Bidi, les communications de Franck Lopvet ( in Quantic Planète, Un Homme debout parties 1 et 2 ), lire les ouvrages de Gary R. Renard, ( Et l'univers disparaîtra ), Louis Royer et les autres, etc…
Ainsi, l'osmose des univers se fait en l’Un.
L’essentiel est enfin là, les protagonistes sont comme médusés par les parfums d’Amour, de magie, de brise d’espoir, de noblesse et de liberté, que seuls, les enfants à bas âge, dans leur joie puérile, ressentent, vivent et en dégagent les bouffées de bonheur sobre, limpide, transparent, simple et purement naturel.
La méditation, dans les règles de l’art, selon les grands méditateurs, nous apprend comment sentir, ressentir et presque toucher cette vibration quasi temporelle, que seule la physique quantique, la science astronomique, la pseudo-science : l’astrologie, l'étude des quasars, ainsi que l'étude de l’infiniment petit nous permettent de mieux percer le secret du Cosmos, mieux appréhender l'Univers, dans sa globalité et aller à la découverte du Multivers, dans son infinité, jusqu’alors, inconnu.
Ce n'est qu’avec ces moyens et seulement, que nous pouvons nous dire, enfin, que nous sommes en phase, en tant qu'entité, avec le Cosmos. Ce n’est qu'alors, que nous nous retrouvons en phase de changement, que notre spiritualité revêt un autre habit, une autre couverture, un autre voile, celui de l’Ailleurs, d'où nous sommes venus et vers lequel nous cheminons.
Notre spiritualité est autre que ce que croyaient avoir ceux qui nous ont précédés, à travers l’espace temps.
- La Cinquième Dimension -
Qui sommes-nous ?
D'où venons-nous ?
Vers où nous allons
Vers où nous croyons nous diriger ?
Pourquoi croire que ce monde est peut-être faux ?
Qui est cette puissance qui l’a dû créer ?
Pour quelles raisons ? Dans quel objectif ?
En quoi est-il fallacieux ?
Il est ainsi fait pour l’avantage de qui ?
Ce monde ainsi conçu, pour en profiter, par qui ?
Y a-t-il d’autres mondes ?
Comment s’en sortir ?
Pourquoi faut-il nier ce qui existe, en dehors de notre conscience, de notre vouloir, de notre capacité et de notre faculté de décision ?
Si je vis dans un monde illusoire, fallacieux, cela pourra signifier aussi que je ne suis pas. Que “Je” est une illusion, Un mirage,...Une image,...Une dérision.
Ce monde inparfait ne peut pas avoir été créé par un Dieu parfait. L'imparfait ne sera que l'œuvre d'un imparfait ! Qui pouvait l'être, alors ?
" Si Dieu est Un, si “J” est en Dieu et que Dieu est en nous et non en dehors de nous, notre quête doit commencer par explorer notre intérieur. Ce cheminement nous emmènera à l'ascension vers le Multivers "...
" On n'a plus besoin de la matière, ni du corps. Seuls l'âme et l'esprit doivent se conjuguer, se compléter, afin de réussir cette ascension, pouvoir se dépasser et dépasser l'imparfait, l'illusoire et ainsi approcher la lumière. La lumière est en nous, mûrissons - la dans notre élévation et volons vers l'ailleurs, dans la foi, dans la joie, dans la jubilation, dans la transe spirituelle de l'intemporel. "
Par ailleurs, il nous sera légitime de rejeter tout intermédiaire entre Dieu et nous.
“ J” est totalement, complètement dualiste en Un.
Ce dualisme n’a rien à voir avec l’enseignement des anciens, interprètes des Saintes Écritures, ni avec le dualisme bouddhiste, ni celui, amérindien.
Le mythe de Pluton, dans l'astrologie mondiale et, actuellement, en France ( voir “ Amis qui aiment Astrologie ), espace de notre amie F . C . Que nous remercions vivement, ici,
Comme dans les récits des Saintes Écritures, des trois grandes religions monothéistes :
L’Islam, Le Christianisme et Le Judaïsme, nous rencontrons le mythe de Dieu chassant Satan, l’adversaire de la lumière, du trône qu’il occupait, parmi les anges, à côté de l’Éternel.
En se fondant sur un savoir actuel, lié à l’astrologie, Hémo erectus tentait de comprendre la portée des astres et leur éventuelle influence sur la vie et les vivants sur terre. Il pensa qu’il était impossible de ne rien comprendre à notre temps. Or, en développant ce principe, jusque dans ses conséquences logiques, il acquière la certitude de ce qui se passerait dans le ciel, au-dessus de nos têtes.
En effet, la planète Mars aurait évolué dans le signe Verseau, depuis le 17 Mai 2018 au Carré ( tensions ) de la planète Uranus en Taureau, laquelle période pourrait être longue de par ses rétrogradations. Ce qui signifierait, en clair, que la société humaine - un peu malade - devrait connaître un dynamisme excessif, de la colère, de la brutalité, des explosions de multiples tyrannies incontrôlables. Grand malaise, alors.
Résumons en trois axes ce déroulement prémonitoire des quelques énergies négatives en vue :
La Rébellion contre l'autorité : plus rien, ni personne ne veut plus “ Obéir “, étant donné que l’obéissance n'était pas une soumission aveugle et irraisonnée, mais, au contraire, une délégation à plus apte de ses propres pouvoirs de confiance.
La Rébellion contre l’ordre naturel, la contestation de la connaissance et de la reconnaissance.
La Rébellion contre la spiritualité et l'amour : à cause du renforcement des valeurs de la matière, de l'objet, de la chose, de la chosification de l'être vivant. Le renforcement dans la possession de la matière comme objet vital irraisonné, puisqu’il est illusoire, entraîne la dégradation de tout idéal à fondements spirituels des vraies valeurs morales, civiques, humanistes. En conséquence de quoi, la jouissance précipitée de l’instant, le pouvoir de prendre tout pour acquis, vouloir tout savourer dans les plaisirs de la chair, tout goûter dans l’immédiateté du désir - ce qui est indubitablement impossible - alors, on oscille, entre l'extrême satiété et l'indémodable et indésirable dégoût. Ainsi, au fond de l’homme, un feu d’insatisfaction se ranime sans cesse et finit par faire déborder le vase de la patience en explosions de révoltes intermittentes.
Pour certains esprits, l'essentiel est de ne pas se laisser obnubilé par les passions, le préjugé, le caractère, l’habitude, car “ ils obnubilent souvent la conscience morale “, comme le pense et le dit Raymond Savioz,( La philosophie de Charles Bonnet de Genève, page 299, 1948 ).
Vivre l’instant. Jouir de l'état d'être. Se libérer du passé. Voir dans le futur une nécessité inéluctable de changement pour le retour au point du départ, vers l’ailleurs, vers la source, vers l'éternité. L’oubli, l’ignorance, l'impatience, l'aliénation par le monde fallacieux, par l’illusion et le mirage qui ont longtemps conditionné la conscience humaine, font que le cheminement n’est pas de toute facilité pour tous.
La joie spirituelle guide le cœur et éclaire l'esprit.
La méditation raisonnée et constante ouvre la voie de l'espérance dans la béatitude de l’informel et de l'éternel Un.
La méditation continue. L’amour et la joie meublent l'espace de la spiritualité. Librement, chacun prend sa propre voie d’exploration, choisit le parcours de son cheminement, selon le degré de son imprégnation, suivant le niveau de la connaissance auquel il accède.
HaMo-Galacticus paraissait avoir la certitude dans sa propre vision, dans le choix de la voie qu’elle a prise et la nouvelle vie mystique qu’elle s’est construite, poursuivant son ascension en maîtresse de conscience, elle n’en finissait pas d’apprendre et de diffuser autour d’elle cette aura de lumière, d’auto-suffisance et de Satisfaction spirituelle.
Quant à Hemo erectus, il se détacha peu à peu, se relâcha lentement et calmement. Il préféra aller de découverte en découverte, alliant création littéraire, poétique et quête mystique.
La vérité est bien là, quelque part. Adviendra que pourra. Ainsi soit-il !
Pourquoi le titre de mon nouveau recueil de poésies est : " BLANCHE COLOMBE " ?
Tout d'abord, La Colombe blanche est le surnom de la ville blanche Tétouan où la quasi totalité des textes du recueil ont été inspirés et écrits.
En effet, je fus subjugué, très fasciné et je le suis toujours, par la beauté de cette cité aux attraits andalous, au climat tempéré et à l'air bien respirable qui me convient.
Ensuite, le terme est en lui-même polysémique et symbolique dans le sens de la simplicité, celui de la pudeur, celui de la tendresse, celui de la fidélité, celui de la tranquillité, celui du calme et de la générosité.
C'est dire que je ne suis pas dans " le meilleur des mondes possibles ", mais je suis dans un univers qui me plaît, qui m'attire et que j'apprécie.
Espace fantastique, magique à connaître, à visiter et à aimer.
La Colombe, selon la mythologie ancienne, fut la nourricière généreuse de Jupiter.
Suivant une autre histoire mythologique, la Colombe représentait l'oiseau de la concorde de Vénus.
Au départ, je ne savais pas du tout, que j'allais, effectivement, réaliser des périples aussi intéressants, aussi loin de ma ville natale AZROU et de ma ville d'adoption FÈS.
Le destin et mon désir de voyager voulurent que j'aille connaître une grande partie du Sud du Maroc et que je m'établisse pour une longue durée au Nord de mon pays, afin d'en découvrir les perles d'un trésor inestimable, patrimoine ancestral de traditions humaines et historiques, des variétés géographique aux diversités climatiques les plus recherchées et les plus escomptées.
Une faveur divine. Une félicité des cieux.
J'atterris à Tétouan, la blanche, après Bni Rebia, Teroual, barrage Al Wahda, Ksar El-Kébir, Ouazzan, Larache, Moulay Bousselham, Asilah.
Un vrai paradis.
Mon recueil de poésies : " PÉRIPLES " évoquait le Sud, les plages au bord de l'Océan Atlantique, au Sud d'Agadir, Tiznit, Aglou, Mirleft, Legzira, Sidi Ifni, Guelmim, Bouizakarne, Zaouiat Ifrane, Lakhsass, Tafraoute,...
La région Souss Massa Draâ, riche de nature, est toujours riche en traditions, en histoire, en diversités de faune et de flore.
Ce présent recueil : " BLANCHE COLOMBE " est parfumé des senteurs marines du littoral méditerranéen et des forêts du Rif.
Le Nord du Maroc est plutôt baigné de lumières et de couleurs.
Cependant, mes textes du recueil ne sont point des récits d'histoire. Ils sont l'inspiration des lieux visités, des gens rencontrés, de l'air inspiré, des vocables entendus. Une vraie magie, une réelle fascination.
Par ailleurs, le sens de l'évocation, le sentiment de la nostalgie, le profond attachement aux miens et à mon pays font que ce recueil semble refléter une certaine maturité du poète, une profondeur de la méditation et la singularité de l'inspiration.
À Tétouan, en médina, l'héritage andalous persiste aux aléas du temps.
Dans l'air, les ondes radio-télévision espagnoles continuent de dominer le paysage médiatique, tout comme, à Sidi Ifni et région, où les radios-télévision des Îles Canaries se répandent partout.
Ici, à Martil, à Cabo Negro, à Mdiq, à Fnideq, à Oued Laou, les gens semblent avoir des préférences notables pour les dialectes Jebli, rifain et la langue espagnole.
Si au Sud, la Tassoussite prédomine, au Nord, c'est plutôt, le rifain.
Toujours est-il, qu'il s'agit là d'une grande diversité, d'une importante richesse dont nous devons être fiers en tant que marocains, de Tanger à Lagouira.
Il est de notre devoir de préserver cette diversité, d'honorer cette richesse du patrimoine naturel et humain par l'union sous le même drapeau du Maroc, avec le même attachement ancestral à la monarchie marocaine, seule, unificatrice du peuple marocain.
Pérennité au peuple, à la nation et au trône du Maroc
* ( Divinité importante de l’hindouisme, huitième avatar (incarnation) de Vishnu, divinité suprême à l’origine de toutes les autres, instructeur universel. )
Élévation du poète
Celle du poète /Chaman
Il y a bien le mal. Il y a bien le Bien.
Il n'y a pas de milieu : le gris.
La méditation est honnêteté.
La pensée est malhonnête.
Comparaison entre honnête et malhonnête.
La méditation est pensée pure de Dieu.
En ce qui est et rien d'autre.
Oui, mais tu vas loin,,
Sors des religions, des autres croyances,
Va, sur ton chemin d'interrogation,
Puise ta pensée en toi,
En ton esprit, en ton corps,
Laisse-toi aller à la découverte d'un autre toi,
Méditer est le centre de la foi,
Bouddhiste, sois-tu,
Catholique, sois-tu,
Musulman, sois-tu,
Au temple, comme à l'église, comme à la mosquée,
Dieu est le même pour tous.
Amour, charité, adoration et foi,
Dans le silence de la méditation
la lumière éclaire l'esprit, illumine la voie,
Le soleil brille pour tous,
Sans parole, sa seule musique est la lumière
Son seul chant est l'espoir,
Son unique chanson est l'amour,
Qui, que tu sois, fasse que ta vie,
En soit baignée,
Que ton existence en soit inspirée,
Juste, pour avoir un sens,
Juste, pour que le ciel, devant toi,
Puisse s'ouvrir,
Et te permettre de jouir,
De ton présent et te souvenir
Que ton destin est entre tes mains,
Que ton extase est sublime,
Mystique fervent,
Dans ton amour de l'Éternel,
Dans ta foi en sa miséricorde,
Ton repos est réel, ta quiétude est essentielle,
Ta joie et ton bonheur,
Sont tes actes et tes paroles,
Ton coeur est grand et bon,
Il n'y a qu'un seul chemin et jamais beaucoup de voies,
Pour atteindre les faveurs du ciel,
Pour goûter aux splendeurs de la félicité,
Et être toi en toi et tous les autres,
Alors, souris,
Dans ton sourire, l'espoir et le bonheur,
Ton bonheur et le leur,
Ton regard verra toujours le bon, toujours, le beau !
Né à Azrou, ville du Moyen Atlas, au Maroc, en 1952.
Études primaires à Azrou et à Aït Ishaq. Études secondaires à Khénifra. Études universitaires et carrière de professeur de langue et de littérature françaises à Fès.
Père de trois enfants. Grand-père de Ouiam et de Imad, depuis peu. Retraité depuis fin 2012.
Voyages, lectures et écriture de la poésie, des nouvelles, chroniques, pensées et méditations.
Écrits déjà publiés :
Recueil de Nouvelles et Contes du Moyen Atlas
Recueil de poésies : Voix et Parole du Silence
Recueil de poésies : Poèmes brefs et Poésie en prose
Recueil de poésies : Danse Des Perles
Recueil de poésies : Extase et Transcendance
Recueil de poésies : Au Chevet des Idées Dormantes
Recueil de poésies : Périples
Recueil de poésies : Enchantement Désenchanté
Recueil en prose : Chronique Des Jours Qui Passent
Recueil de poésies : Blanche Colombe
Ouvrages sur amazon.fr & edilivre.fr, sur edition999.info sur atramenta.net