Reflets de lumière,
Rêve de cristal,
Dérivé ou direct,
Fantasmé et rassuré,
Air dandy ou zazou funeste,
Rythmes, cadences au blues,
Bougies illuminent
Parfums et décors aux couleurs
Du charme aimant qui perdure
Spectacle aux mille senteurs,
Danseuses bleues, bruines qui
inondent
La course chaotique, l’incohérence
allure,
Confuse est cette nostalgique mélodie
de la Terre,
Dans les sillons du Verbe, dans les
joyeux ébats du corps,
Le rouge, l’ocre et l’humus noir,
Folâtres ces voies, ces voix, chatoyantes
couleurs,
Sur les joues, elles se mirent,
De chauds jets de lumière,
De mascara, de Kohl et de fards
Tels les effrontés nénuphars,
Dans le benjoin d’Ankara ou
d’Istmbul,
Où mon Tango, mon Slow ne sont que
nébuleuses,
En chorégraphie coupant tout souffle,
Jusqu’au petit matin, du bon jour,
Du cidre de pommes et de myrtille,
ÂME, enfin sereine, ivre et corps
bien tranquille !
Abdelmalek Aghzaf, Fès, Le 22/03/2015®©
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